Aujourd’hui, nous allons parler d’amour universel, “divin”, sans concession… vous mettez ce que vous voulez derrière ce concept, et d’égoïsme pour observer la différence. Je commence par le plus simple à définir pour moi: l’égoïsme.

L’égoïsme pousse à tout faire et tout ramener à soi. C’est aussi enlever quelque chose à autrui pour son propre plaisir. Ça fait un peu vengeance dit comme ça, non ?

Penser à soi, oser dire non à quelqu’un qui demande quelque chose, ce n’est pas de l’égoïsme. C’est de l’amour pour soi, celui qui nous pousse à nous protéger.
Petite précision: tant que ce n’est pas uniquement pour nuire à autrui car, là, nous tomberions dans autre chose – de la méchanceté – que nous appliquerions du coup aussi à nous-même, en passant…

La question du jour est: est-ce que je peux dire non à quelqu’un que j’aime sans me sentir coupable ?

Hier, non, clairement. J’ai affronté mes sentiments de culpabilité et ma quête de légitimité. Aujourd’hui, cela reste difficile dans certaines situations.
Ma réponse complète en vidéo.

Lesquelles ? C’est une question que je vous invite à vous poser car elle permet d’identifier les moments où nous faisons des choses à contre-coeur. Ce qui nous pousse à agir ainsi, ce sont d’une part nos peurs, mais aussi nos schémas, réflexes, croyances, etc. qui ne sont plus en accord avec ce que nous sommes aujourd’hui.
Me concernant, je suis bien en peine de le dire. Je le remarque surement sur le moment car accepter ou faire quelque chose à contre-coeur n’est jamais agréable au moment de la décision. Maintenant que je me suis posé cette question, je vais tâcher d’être plus vigilant.

Belle journée à vous…